Après les bombar­­­­­­­­de­­­­­­­­ments de novembre 1918, la recons­­­­­­­­truc­­­­­­­­tion de l’Hô­­­­­­­­tel de ville s’achève en 1930. La façade avant de cet édifice, d’une archi­­­­­­­­tec­­­­­­­­ture remarquable, reprend des éléments de style médié­­­­­­­­val, Renais­­­­­­­­sance et baroque. L’in­­­­­­­té­­­­­­­­rieur de l’Hô­­­­­­­­tel de ville révèle quant à lui une déco­­­­­­­­ra­­­­­­­­tion néo-baroque. L’hô­­­­­­­tel de ville de Mézières est bien digne d’une ville chef-lieu de dépar­­­­­­­­te­­­­­­­­ment. Il consti­­­­­­­­tue un pendant à la préfec­­­­­­­­ture. Sa taille impres­­­­­­­­sion­­­­­­­­nante se justi­­­­­­­­fie par l’idée que l’Hô­­­­­­­tel de ville de Mézières devien­­­­­­­­dra à terme celui des 6 communes fusion­­­­­­­­nées. Sur la place de l’Hô­­­­­­­­tel de Ville se situe notam­­­­­­­­ment le monu­­­­­­­­ment aux morts, rendant hommage aux 397 habi­­­­­­­­tants de la ville qui sont morts pour la France.