Depuis 2014, l’une des constantes a été de renfor­cer les moyens de la police muni­ci­pale. Un renfor­ce­ment qui s’est traduit côté maté­riel, avec de nouveaux équi­pe­ments, l’au­to­ri­sa­tion de porter une arme ou la mise en place d’un réseau de camé­ras de vidéo­pro­tec­tion (lire ci-dessous), mais aussi en termes d’ef­fec­tifs : en 7 ans, ce service est passé de 20 à 33 agents, sans comp­ter leurs 10 collègues qui se relaient pour vision­ner les images desdites camé­ras. 

Une augmen­ta­tion plani­fiée qui offre désor­mais à nos poli­ciers muni­ci­paux la possi­bi­lité d’ef­fec­tuer des patrouilles jusqu’à 2 heures du matin, alors qu’ac­tuel­le­ment leur service s’achève à 20 heures (22 heures les vendredi et samedi). 

Au moins 3 poli­ciers par patrouille 

Depuis début décembre, concrè­te­ment, nos poli­ciers « tournent » donc aussi en soirée et début de nuit, du lundi au samedi inclus, le plus souvent en voiture, mais ces patrouilles pour­ront aussi s’ef­fec­tuer à pied, notam­ment dans le centre-ville. Le dimanche, le service cesse à 22 heures ou minuit en fonc­tion des besoins. 

Chacune de ces patrouilles (on en compte une ou deux quoti­dien­ne­ment en fonc­tion des jours) est compo­sée au mini­mum de trois poli­ciers.

Mont Olympe : les camé­ras arrivent en janvier 

Si les effec­tifs de la police muni­ci­pale ont été multi­pliés par deux depuis 2014 (voir ci-dessus), les camé­ras de vidéo­pro­tec­tion sont passées d’une petite dizaine (et pas toutes bran­chées…) à près d’une centaine. On en compte très exac­te­ment aujourd’­hui 91 fixes et 5 mobiles, ces dernières étant placées en fonc­tion des besoins. Quant au Mont Olympe, il sera équipé en janvier de 10 camé­ras char­gées notam­ment de proté­ger les nouveaux équi­pe­ments spor­tifs.