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Pouvoir d'achat

Au coeur de nos préoccupations, votre pouvoir d'achat

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Cela fait quelques mois que la défense du pouvoir d’achat est à la mode. Mais cela fait 5 ans que la Ville, secon­­­­dée par Ardenne Métro­­­­pole, multi­­­­plie les initia­­­­tives pour vous aider à moins dépen­­­­ser. Revue de détail.

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Pouvoir d'achat
Basilique Mézières
#Travaux

Mézières toujours plus belle

Tandis que certains parlent, d’autres agis­­­­sent… Une consta­­­­ta­­­­tion qui vaut égale­­­­ment pour le fameux « pouvoir d’achat » : sa défense est sur toutes les lèvres, son amélio­­­­ra­­­­tion promise par un nombre impres­­­­sion­­­­nant d’in­­­ter­­­­ve­­­­nants. Mais au-delà de ces effets de manche, il arrive parfois que des initia­­­­tives concrètes vous permettent effec­­­­ti­­­­ve­­­­ment de réali­­­­ser des écono­­­­mies. C’est le cas avec un certain nombre de dispo­­­­si­­­­tions prises par la Ville ou Ardenne Métro­­­­pole. A commen­­­­cer par la baisse de la fisca­­­­lité locale.

10 % de baisse : promesse tenue !

La fisca­­­­lité est un domaine complexe. Et les impôts locaux n’échappent pas à cette règle. Le montant dont vous devez au final vous acquit­­­­ter dépend de plusieurs para­­­­mètres, notam­­­­ment les taux fixés par les diffé­­­­rentes collec­­­­ti­­­­vi­­­­tés (communes, inter­­­­­­­com­­­­mu­­­­na­­­­li­­­­tés, dépar­­­­te­­­­ments) qui perçoivent cet impôt. Dans ce domaine, Char­­­­le­­­­ville-Mézières fait partie des très rares excep­­­­tions : sur l’en­­­semble des villes françaises d’une taille équi­­­­va­­­­lente (entre 40.000 et 60.000 habi­­­­tants), la nôtre est l’une des seules à pratiquer une baisse régu­­­­lière de ses taux depuis 2014. La promesse d’une dimi­­­­nu­­­­tion de 10 % de la fisca­­­­lité commu­­­­nale d’ici la fin du mandat sera tenue ! Initia­­­­le­­­­ment, cet effort devait en prio­­­­rité porter sur la taxe d’ha­­­bi­­­­ta­­­­tion, mais près de neuf ménages caro­­­­lo­­­­ma­­­­cé­­­­riens sur dix devant en être prochai­­­­ne­­­­ment exemp­­­­tés par mesure gouver­­­­ne­­­­men­­­­tale, la ville a décidé de se foca­­­­li­­­­ser depuis deux ans sur la taxe foncière. Exemple cette année, avec une dimi­­­­nu­­­­tion de 2,4 % de cette taxe.

Charité bien ordon­­­­née…

Si, au lieu de bais­­­­ser systé­­­­ma­­­­tique­­­­ment ses taux, la muni­­­­ci­­­­pa­­­­lité avait simple­­­­ment décidé de les main­­­­te­­­­nir à leur niveau de 2013, la ville aurait au total perçu 12,6 millions de recettes fiscales supplé­­­­men­­­­taires. 12,6 millions d’eu­­­ros que les contri­­­­buables caro­­­­lo­­­­ma­­­­cé­­­­riens n’ont donc pas eu à verser. Pour les finances muni­­­­ci­­­­pales, bais­­­­ser les recettes fiscales, c’est un effort consi­­­­dé­­­­rable. A titre de compa­­­­rai­­­­son, l’amé­­­na­­­­ge­­­­ment du campus univer­­­­si­­­­taire repré­­­­sente un inves­­­­tis­­­­se­­­­ment de 20 millions. Les écono­­­­mies quoti­­­­diennes que nous avons dû consen­­­­tir pour parve­­­­nir à bais­­­­ser les impôts des Caro­­­­lo­­­­ma­­­­cé­­­­riens se sont immé­­­­dia­­­­te­­­­ment traduites par une dimi­­­­nu­­­­tion de 50 % des indem­­­­ni­­­­tés de Boris Ravi­­­­gnon : en tant que maire, il est depuis 2014 rétri­­­­bué deux fois moins que son prédé­­­­ces­­­­seur.

Baisse de la taxe sur les ordures ména­­­­gères

Les taxes d’ha­­­bi­­­­ta­­­­tion et foncière ne sont pas les seules à bais­­­­ser, celle sur les déchets aussi. Cet impôt porte le nom de Teom (Taxe d’en­­­lè­­­­ve­­­­ment des ordures ména­­­­gères). Prélevé par Ardenne Métro­­­­pole, il est destiné à finan­­­­cer à la fois les tour­­­­nées de collecte des déchets et le trai­­­­te­­­­ment de ces derniers. Or sur Char­­­­le­­­­ville-Mézières, cette Teom dimi­­­­nue chaque année avec une belle régu­­­­la­­­­rité : elle a perdu 8,7 % depuis 2014 et doit pour­­­­suivre ainsi jusqu’en 2023 !

Tran­­­­sports publics : pas d’aug­­­men­­­­ta­­­­tion depuis 2014

Tout augmente ? Pas tout à fait… Le tarif des trans­­­­ports publics de notre agglo­­­­mé­­­­ra­­­­tion n’a pas bougé depuis 2014 : le billet à l’unité est resté à 1,20 €, le pass mensuel à 26 € et le pass annuel à 260 €. Pour­­­­tant, sur la même période, l’in­­­fla­­­­tion a atteint 3 %, le prix des carbu­­­­rants a augmenté et le coût de l’en­­­tre­­­­tien d’un bus en a fait de même. Mais votre pouvoir d’achat a été préser­­­­vé…

Des aides pour amélio­­­­rer votre loge­­­­ment

Vous êtes proprié­­­­taire d’un loge­­­­ment qui a besoin d’une sérieuse remise aux normes, l’opé­­­ra­­­­tion « habi­­­­ter mieux en Ardennes », lancée à l’échelle dépar­­­­te­­­­men­­­­tale avec l’ap­­­pui d’Ar­­­denne Métro­­­­pole, est faite pour vous ! La liste des chan­­­­tiers éligibles est longue : écono­­­­mies d’éner­­­­gie, réno­­­­va­­­­tion ther­­­­mique, adap­­­­ta­­­­tion du loge­­­­ment à la perte d’au­­­­to­­­­no­­­­mie, résorp­­­­tion de l’ha­­­bi­­­­tat indigne ou très dégradé, réha­­­­bi­­­­li­­­­ta­­­­tion complète ou mise aux normes d’un loge­­­­ment vacant, copro­­­­priété fragile. Autre possi­­­­bi­­­­lité, avant la fin de l’an­­­née, vous allez pouvoir béné­­­­fi­­­­cier des aides finan­­­­cières substan­­­­tielles propo­­­­sées dans le cadre d’une Opah (Opéra­­­­tion program­­­­mée d’amé­­­lio­­­­ra­­­­tion de l’ha­­­bi­­­­tat). Une étude permet­­­­tra dans quelques mois de déter­­­­mi­­­­ner de manière précise les contours de cette offre : quels quar­­­­tiers, montant des aides, nature des travaux… Le but de ces deux dispo­­­­si­­­­tifs est le même : vous aider à réno­­­­ver votre loge­­­­ment à moindre coût et vous permettre, ensuite, de réduire votre facture éner­­­­gé­­­­tique.

Divi­­­­sez par deux votre taxe foncière

On l’a vu, Char­­­­le­­­­ville-Mézières fait partie des très rares villes de France à bais­­­­ser ses impôts locaux. Mais elle appar­­­­tient égale­­­­ment au club très restreint de celles qui vous offrent la possi­­­­bi­­­­lité de divi­­­­ser par deux votre taxe foncière. Si vous êtes proprié­­­­taire, il vous suffit en effet d’en­­­ga­­­­ger des travaux desti­­­­nés à réali­­­­ser des écono­­­­mies d’éner­­­­gie pour béné­­­­fi­­­­cier de cette offre. Pour cela, le montant de ces travaux doit dépas­­­­ser 10.000 € et votre loge­­­­ment avoir été livré avant le 1er janvier 1989. Pour plus de rensei­­­­gne­­­­ments : fisca­­­­li­­­­te@­­­­mai­­­­rie­­­­char­­­­le­­­­vil­­­­le­­­­me­­­­zieres. fr

Station­­­­ne­­­­ment : les tarifs ne bougent pas

Même chose pour le station­­­­ne­­­­ment : soit ses tarifs ont baissé (ce qui a été le cas pour le parking Bour­­­­bon, dont la ville a repris la gestion en septembre 2015), soit ils sont restés constants. Sans parler des plages de gratuité de 90 minutes instau­­­­rées trois fois par semaine. En clair, pour une heure de station­­­­ne­­­­ment, soit vous ne payez pas soit vous réglez aujourd’­­­hui exac­­­­te­­­­ment la même somme qu’il y a 10 ans. Combien de services ou de produits peuvent en dire autant ?

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